Exécutions sommaires et fosses communes, la brutalité de l’armée israélienne
Après 200 jours depuis l’agression israélienne, la bande de Gaza est devenue le témoin de diverses formes flagrantes de violations commises par l’armée d’occupation contre les habitants civils, entraînant la mort de plus de 34 000 personnes, principalement des femmes et des enfants.
De Tantoura à Gaza
Peu de temps après l’agression israélienne contre la bande de Gaza, le ministre israélien et membre du cabinet restreint, Avi Dichter, a révélé les intentions de son armée en répétant la catastrophe palestinienne, connue sous le nom de « Catastrophe de Gaza 2023 ».
De Srebrenica à Gaza
En juillet 1995, la ville de Srebrenica en Bosnie était le théâtre d’un des pires massacres en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, lorsque les forces serbes ont occupé la ville et exécuté plus de cinq mille musulmans en moins de deux semaines, les enterrant dans des fosses communes.
Le commerce des organes des martyrs
En décembre de l’année dernière, les autorités de Gaza ont confirmé des signes évidents de vols d’organes sur les corps de 80 martyrs tués par l’armée israélienne, soulevant à nouveau des questions sur la politique israélienne ancienne de vol d’organes de martyrs palestiniens.
Preuve du génocide
La Cour internationale de justice a rendu un arrêt important en janvier dernier concernant la plainte déposée par l’Afrique du Sud contre Israël, concluant qu’Israël avait commis le crime de génocide.
Histoire des fosses communes
En 2022, une enquête israélienne a révélé l’existence d’une fosse commune contenant environ 80 soldats égyptiens remontant à la guerre de 1967, dont plus de 20 ont été brûlés vivants par l’armée israélienne, illustrant la maltraitance infligée aux victimes.
Conclusion
La brutalité de l’armée israélienne, illustrée par les exécutions sommaires et les fosses communes, soulève des questions sur la politique israélienne vis-à-vis des civils et met en lumière la longue histoire d’oppression exercée par Israël sur les Palestiniens. La guerre contre Gaza révèle un désir apparent d’effacer la population palestinienne, tant physiquement que moralement, soulignant l’urgence d’agir contre ces crimes contre l’humanité.