Accueil Actualité Les USA sanctionnent le procureur général du Nicaragua pour droits humains

Les USA sanctionnent le procureur général du Nicaragua pour droits humains

par Chia
Faire un don
A+A-
Réinitialiser
Les USA sanctionnent le procureur général du Nicaragua pour droits humains

Les États-Unis imposent des sanctions au procureur général du Nicaragua pour violation des droits humains

Les États-Unis ont décidé d’imposer des sanctions à Wendy Carolina Morales Urbina, procureur général du Nicaragua, pour son rôle présumé dans ce que le gouvernement américain qualifie de « la persécution injuste de prisonniers politiques et de la société civile ». Morales Urbina, en fonction depuis 2019, aurait « exploité son poste pour faciliter une campagne coordonnée visant à réprimer la dissidence en saisissant des biens appartenant à des opposants politiques du gouvernement sans base légale », a déclaré Brian Nelson, sous-secrétaire du département du Trésor américain en charge du terrorisme et de l’intelligence financière, dans un communiqué publié jeudi.

Les actions de Morales Urbina et les conséquences des sanctions

En vertu de la sanction, les États-Unis bloqueront tout bien ou intérêt détenu par Morales Urbina sur leur territoire et interdiront les transactions américaines avec elle. Le département d’État américain a également ajouté Morales Urbina à une liste noire de corruption l’empêchant d’entrer aux États-Unis. Sa politique aurait désigné des membres de l’opposition nicaraguayenne comme « terroristes » et aurait bloqué leurs ressources financières en vertu d’une loi contre le terrorisme, selon le département du Trésor.

Oppression et violations des droits humains au Nicaragua

Le gouvernement d’Ortega aurait déchu de leur nationalité 300 personnes pour « terrorisme » l’année dernière, dont les 222 prisonniers politiques expédiés aux États-Unis après avoir été dépouillés de leur nationalité nicaraguayenne. Cette répression a provoqué une réaction internationale, principalement des États-Unis, qui ont imposé des sanctions importantes à Ortega, son épouse et d’autres fonctionnaires, dont des juges.

Contexte politique et violations des droits à Nicaragua

Le gouvernement d’Ortega, ancien rebelle marxiste, est confronté à des critiques de plus en plus vives pour ses violations des droits humains. Amnesty International a déclaré dans un rapport l’année dernière que le gouvernement d’Ortega a consolidé son pouvoir par « l’usage excessif de la force, l’utilisation de lois criminelles pour criminaliser de manière injuste les militants et les dissidents, les attaques contre la société civile et l’exil forcé ».

Laissez un commentaire

*En utilisant ce formulaire, vous acceptez le stockage et la gestion de vos données par ce site web.


Droits d’auteur © 2024 – unsujet.fr – Tous droits réservés

Bienvenue sur unsujet.fr ! 🌟 Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience sur notre site. Ces petits fichiers sont essentiels pour le bon fonctionnement de notre site et nous aident à comprendre comment vous l'utilisez, afin de le rendre encore plus intéressant et pertinent pour vous. En continuant à naviguer sur unsujet.fr, vous acceptez notre utilisation des cookies. Si vous souhaitez en savoir plus sur notre politique de confidentialité et les cookies que nous utilisons, cliquez sur "En savoir plus". Vous pouvez également choisir de refuser les cookies non essentiels en cliquant sur "Refuser". Merci de votre visite et bonne lecture sur unsujet.fr ! 📚🌍 Accepter En savoir plus