Sommaire
Washington examine un rapport sur l’IA israélienne bombardant Gaza
Le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré lors d’une interview avec CNN jeudi que les États-Unis examinaient un rapport selon lequel l’armée israélienne utiliserait l’intelligence artificielle pour aider à cibler les frappes à Gaza.
L’Étude du Rapport par les États-Unis
Kirby a précisé que les États-Unis n’avaient pas vérifié le contenu du rapport publié par des sites Web avant-hier mercredi. Ce rapport affirmait que des responsables du renseignement israélien utilisaient un programme appelé « Lavender » pour cibler des objectifs à l’intérieur de la bande de Gaza.
Controverses et Déclarations
Le rapport médiatique indiquait que l’armée israélienne classait des dizaines de milliers d’habitants de Gaza comme suspects en utilisant un système d’intelligence artificielle sans révision humaine. Cependant, l’armée israélienne a nié avoir utilisé l’IA pour identifier les cibles et les suspects avant de les frapper.
Utilisation de l’IA par Entité sioniste
Selon des sources de renseignement citées par The Guardian, Entité sioniste aurait utilisé une base de données soutenue par l’IA pour identifier 37 000 cibles potentielles lors des frappes sur Gaza. Le pays aurait utilisé un système d’IA nommé « Lavender » pour permettre aux responsables militaires israéliens de tuer un grand nombre de civils palestiniens, notamment au début du conflit.
Témoignages et Implémentation de l’IA
Des témoignages de responsables du renseignement israélien ont souligné l’utilisation directe de l’apprentissage automatique pour aider à cibler les objectifs lors de l’agression continue contre Gaza depuis début octobre. « Lavender » aurait joué un rôle central en traitant de grandes quantités de données pour identifier rapidement des cibles potentielles parmi les membres présumés des groupes de résistance palestiniens.
Conclusion
Cette utilisation de l’intelligence artificielle dans les conflits suscite des préoccupations éthiques et humanitaires quant à la précision des cibles, la protection des civils et le respect du droit international. L’analyse de ces pratiques soulève des questions sur l’éthique de plus en plus présente dans la guerre moderne.