Image satellite d’Assfahan post-attaque israélienne
La nuit dernière, le réseau « CNN » a publié une image par satellite de la base aérienne iranienne d’Ispahan, qui a été la cible de l’attaque israélienne tôt hier matin.
L’image révèle les dommages subis par le radar de la batterie de défense aérienne russe de type « S-300 » situé sur la base. En plus de la précision de la frappe sur le radar de défense aérienne, aucun dommage supplémentaire n’a été infligé à la base.
La batterie « S-300 » à Ispahan fait partie du système de défense aérienne protégeant l’installation nucléaire de Natanz, située à des dizaines de kilomètres d’Ispahan.
Des sources américaines ont déclaré : « Les Israéliens ont frappé ce qu’ils voulaient frapper. »
Explosions signalées à Assfahan
Les autorités iraniennes ont signalé des explosions dans le ciel de la ville d’Ispahan, affirmant qu’il n’y avait pas eu d’attaque de missiles ni de dommages aux installations sensibles. Des médias américains ont cité des responsables affirmant qu’Israël avait mené des frappes de représailles en réponse à l’attaque iranienne du samedi précédent. L’armée israélienne a refusé de commenter le sujet.
Réaction des autorités iraniennes
L’agence de presse iranienne (IRNA) a indiqué que les défenses aériennes avaient été activées dans plusieurs provinces du pays, confirmant qu’elles avaient abattu 3 drones près de la base aérienne de Chakari. Ces drones, connus sous le nom d’avions-suicides à courte portée, n’ont pas causé de dégâts importants.
L’agence a souligné que l’attaque n’avait pas entraîné de dommages majeurs ni d’explosions, tandis que la télévision officielle a rapporté qu’aucune installation nucléaire n’avait été touchée ou visée à Ispahan.
Conclusion
La récente attaque israélienne contre la base militaire iranienne à Ispahan a suscité des réactions et mené à des échanges tendus entre les deux pays. Les détails de l’impact de l’attaque continuent à émerger, soulignant les tensions persistantes au Moyen-Orient.