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Appel au Congrès US pour sanctionner Hemeti et les Forces Rapides

par Chia
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Appel au Congrès US pour sanctionner Hemeti et les Forces Rapides

Appel au Congrès US pour sanctionner Hemeti et les Forces Rapides

Les commissions des affaires étrangères de la Chambre des représentants et du Sénat américains ont appelé le président Joe Biden à examiner de toute urgence la possibilité d’imposer des sanctions aux Forces de soutien rapide soudanaises et à leur leader, le général de corps d’armée Mohamed Hamdan Dagalo (Hemeti), en raison de violations graves des droits de l’homme.

Examen des actions des Forces et de leur leader

Dans une lettre conjointe adressée à Biden, les deux commissions ont souligné que le président américain devait, dans les 120 jours suivant la réception de la lettre, déterminer si ces forces et leur commandant avaient participé à des actes de meurtre en dehors du cadre judiciaire, de torture ou d’autres violations graves des droits de l’homme.

Inspection des réseaux financiers et des sources de revenus

Les commissions ont également demandé à Biden d’examiner les réseaux financiers des Forces de soutien rapide et leurs sources de revenus, telles que le trafic d’or, les liens avec la Russie et le groupe semi-militaire russe Wagner, afin d’évaluer la nécessité d’imposer des sanctions en vertu de la loi Magnitski mondiale.

Rapport confidentiel sur les sanctions envisagées

La direction des deux commissions a insisté dans la lettre sur la nécessité pour Biden de fournir un rapport confidentiel ou non, détaillant s’il a déjà imposé ou envisage d’imposer des sanctions aux Forces de soutien rapide, à Hemeti ou aux deux, avec une explication détaillée des sanctions.

Précédentes sanctions américaines

En septembre 2023, les États-Unis avaient imposé des sanctions à des dirigeants des Forces de soutien rapide, dont Abderrahim Hamdan Dagalo, vice-commandant de ces forces, et leur commandant dans l’État du Darfour occidental, Abderrahmane Gomaa, dans une démarche sans précédent depuis le début de la guerre au Soudan.
Ces sanctions faisaient suite à la décision de Washington, début juin de la même année, de sanctionner quatre sociétés liées à l’armée soudanaise et aux Forces de soutien rapide, accusées d’exacerber le conflit dans le pays.

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