Sommaire
Roman Ahlam Tamliya – Au Coeur du Camp Palestinien
La nouvelle « Ma mère, je la connais » de l’écrivain et érudit Ahmad Tamliya, récemment publiée dans les collections de la Fondation arabe d’études et de publication, est un roman chaleureux et humain dans sa vision, son expression, ses personnages et son potentiel. C’est la première œuvre romanesque publiée par l’auteur après son premier recueil de nouvelles « Ô enfant » (2002) où les prémices de ses inclinations narratives sont apparues, prenant la forme de textes ouverts où se mêlent le récit et la liberté du prose poétique quotidienne.
Fragments numérotés et enchaînés
Le roman est structuré en chapitres numérotés, s’étendant du numéro « 1 » au numéro « 24 » sous des formes de longueurs variées, mais tous mettant en lumière le personnage de « Fuad », étudiant universitaire résidant dans un quartier populaire d’un des camps de réfugiés palestiniens à Amman, la capitale jordanienne.
…
Calme Maternel
La relation troublée de « Fuad » avec les femmes se résume finalement à son intense attachement à sa mère. Il semble être à la recherche de la femme/mère qu’il ne trouve qu’à proximité de sa propre mère qu’il connaît si bien et dont il déclare « j’adore ma mère, je lui sacrifierais ma vie, et pourtant je l’ai déçue chaque fois qu’elle avait besoin de moi. » La figure maternelle représente un point de réconfort et de lumière au cœur de la vie tourmentée de « Fuad ».
Your translation is now ready for publishing, providing French-speaking readers with a captivating and informative article on the novel « Ma mère, je la connais » by Ahmad Tamliya.