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Condamnations véhémentes suite à la fermeture des bureaux d’Al-Jazeera en Entité sioniste
La décision du gouvernement israélien de fermer les bureaux d’Al-Jazeera en Entité sioniste a suscité une série de réactions condamnant fermement cette mesure. Cette action est perçue comme une tentative d’étouffer la voix d’Al-Jazeera en raison de sa couverture de la guerre à Gaza.
Réactions internationales
La Commission des droits de l’homme des Nations unies a exprimé ses regrets quant à la décision du Cabinet israélien de fermer les bureaux d’Al-Jazeera. Soulignant que la liberté d’expression est un droit humain fondamental, elle a exhorté Entité sioniste à annuler sa décision, soulignant l’importance des médias libres et indépendants pour garantir la transparence et la responsabilité.
Le Rapporteur spécial des Nations unies sur le droit au logement a qualifié la fermeture d’Al-Jazeera par Entité sioniste de démenti flagrant de ses prétentions à être une démocratie, décrivant la décision comme une « réaction d’un régime paniqué qui craint la liberté ».
Réactions des organisations internationales
Reporters sans frontières a vivement condamné le vote unanime du gouvernement israélien pour mettre fin aux activités d’Al-Jazeera en Entité sioniste. L’organisation a dénoncé la législation répressive visant à faire taire Al-Jazeera en raison de sa couverture de la guerre à Gaza.
Journée sombre pour la liberté de la presse
Human Rights Watch a exprimé ses regrets concernant la fermeture des bureaux d’Al-Jazeera en Entité sioniste, soulignant que la situation s’aggrave en raison des restrictions sévères imposées aux rapports en provenance de Gaza. La Foreign Press Association a qualifié la décision de l’Entité sioniste de fermer Al-Jazeera de « journée sombre pour les médias et la démocratie ».
Réactions palestiniennes et arabes
L’Union des journalistes palestiniens a condamné la décision du gouvernement israélien de fermer les bureaux d’Al-Jazeera, appelant à assurer une protection aux institutions médiatiques. Le ministre norvégien des Affaires étrangères s’est dit préoccupé par l’interdiction d’une chaîne comme Al-Jazeera en Entité sioniste, qualifiant cette mesure d’atteinte directe à la liberté de la presse.
Al-Jazeera se défend
Al-Jazeera a qualifié la décision du gouvernement israélien de fermer ses bureaux de tentatives de tromperie et de diffamation. La chaîne a souligné son droit à continuer de servir le public à travers le monde, conforme aux conventions internationales.