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Ce mercredi, le Paris Saint-Germain a subi une nouvelle défaite en Ligue des champions, s’inclinant 1-2 face à l’Atlético Madrid au Parc des Princes. Lors de la conférence de presse qui a suivi, l’entraîneur Luis Enrique n’a pas caché sa frustration.
Une défaite difficile à accepter
Après cette rencontre, le PSG se retrouve en position délicate, avec seulement quatre points après quatre matchs, dont trois à domicile. Cette situation place le club à la 25e place du classement, en dehors des places de qualification pour la suite de la compétition. Luis Enrique a exprimé son incompréhension face au manque d’efficacité de son équipe.
Des explications et des critiques
Lors de la conférence, Luis Enrique a été interrogé sur la possibilité que la qualification soit compromise. Sa réponse a été claire : « Sans aucun doute. » Il a poursuivi en soulignant le caractère inexplicable et injuste des résultats récents, déclarant que son équipe avait créé 50 occasions mais peinait à convertir.
Une philosophie à revoir ?
Interrogé sur un éventuel changement de philosophie, il a affirmé : « Je reste fidèle à mes idées. Le jour où j’échouerai dans le football, ce sera avec mes idées, pas avec celles des journalistes ou d’un autre entraîneur. »
Les défis à venir
En abordant la situation de l’attaquant Randal Kolo Muani, il a expliqué que l’Atlético avait défendu avec cinq joueurs jusqu’à la fin, rendant la tâche difficile. Il a néanmoins salué l’attitude de Kolo Muani, le qualifiant de joueur de haut niveau.
Un impact psychologique sur l’équipe
En ce qui concerne l’impact psychologique de cette défaite, Luis Enrique a reconnu que les joueurs et les supporters étaient affectés. « C’est un résultat totalement injuste. Le football est injuste, la vie est injuste. Aujourd’hui, c’est clairement un soir de merde », a-t-il déclaré.
Préparation pour les prochaines échéances
Pour Luis Enrique, il est essentiel de préparer les prochains matchs comme des finales. « Nous avons encore quatre matchs pour changer la situation. La vie peut changer en 16 secondes. Il n’y a rien de tragique », a-t-il conclu, insistant sur le fait qu’il ne travaillait pas avec la peur.