Guerre au Proche-Orient : Benyamin Netanyahou refuse tout cessez-le-feu après de nouvelles frappes au Liban
Publié le 26 septembre 2024 à 15:29, cet article a été mis à jour à 17:55. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a fermement rejeté l’idée d’un cessez-le-feu, alors que les frappes israéliennes se poursuivent dans le sud du Liban.
Nouvelles frappes israéliennes au Liban
Dans la nuit du 25 au 26 septembre, Israël a mené de nouvelles attaques dans le sud et l’est du Liban, ciblant 75 positions qu’il considère comme des installations et dépôts d’armes du Hezbollah. Cette escalade survient alors que les appels à une trêve se multiplient, notamment de la part de Joe Biden et d’Emmanuel Macron.
Les appels à la trêve de Biden et Macron
En marge de l’Assemblée générale des Nations Unies, les présidents américain et français ont plaidé pour une trêve de trois semaines. Emmanuel Macron a souligné l’importance d’empêcher l’élargissement du conflit, tandis que Joe Biden a insisté sur la nécessité d’une cessation des hostilités. Malgré ces efforts diplomatiques, Benyamin Netanyahou a maintenu sa position en faveur de la poursuite des opérations militaires au Liban.
Conséquences humanitaires
Des milliers d’habitants du sud Liban fuient toujours les zones de combat, témoignant de la gravité de la situation sur le terrain. Les tensions demeurent élevées, et la communauté internationale observe de près le développement de cette crise.
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