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Netanyahu sous pression suite à l’échec des négociations
La chaîne israélienne « Kan » a averti que l’absence d’accord sur un échange de prisonniers entre la résistance palestinienne et Entité sioniste menace de faire imploser le gouvernement de guerre mené par Benyamin Netanyahu.
Les ministres clés prêts à démissionner
La chaîne de diffusion publique a également affirmé que les ministres Benny Gantz et Gadi Eisenkot du bloc « Camp de l’État » démissionneront du gouvernement d’urgence, entraînant ainsi sa chute si aucun accord d’échange de prisonniers entre Entité sioniste et les factions palestiniennes n’est rapidement conclu.
Les négociations dans l’impasse
La plupart des membres de la coalition gouvernementale estiment que les pourparlers sont au point mort et que les chances d’un accord prochain sont minces.
La réunion du Conseil de guerre mercredi dernier, consacrée à la question de l’échange de prisonniers, a laissé entrevoir des perspectives de compromis très limitées.
Des tensions au sein du gouvernement
Ces derniers mois, Benny Gantz et Gadi Eisenkot ont clairement affiché leur désaccord avec Netanyahu, notamment en ce qui concerne la libération des Israéliens détenus par les factions palestiniennes dans la bande de Gaza.
Gantz a pris part à des manifestations réclamant un accord pour la libération des prisonniers, tandis que des rapports antérieurs suggèrent que Netanyahu l’a exclu des négociations à ce sujet. Eisenkot soutient également un accord d’échange avec le mouvement de résistance islamique Hamas et s’est opposé au report d’une incursion à Rafah.
Des critiques virulentes envers Netanyahu
Il y a quelques jours, Eisenkot, ancien chef d’état-major de l’armée israélienne, et le leader de l’opposition Yair Lapid ont vivement critiqué le gouvernement de droite de Benyamin Netanyahu, affirmant qu’Entité sioniste était victime de chantage et est devenu la proie de « fous irresponsables ».
Impact sur la région
Cette crise politique pourrait avoir des répercussions non seulement en Entité sioniste mais aussi dans la région. L’évolution de la situation reste à suivre de près.