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Entité sioniste vise-t-elle une « zone morte » au Liban selon Financial Times
L’article original publié par le journal britannique Financial Times a révélé qu’Entité sioniste chercherait à mettre en place une zone morte au Liban en intensifiant les bombardements le long des zones frontalières avec divers types d’armes, en particulier les bombes au phosphore.
L’établissement d’une zone inoccupée
Selon le rapport, cette politique aurait transformé environ 5 kilomètres de la frontière libanaise en une zone inhabitable, alimentant des craintes croissantes d’une guerre totale entre Entité sioniste et le Hezbollah.
Les ravages causés
Les bombardements répétés et l’utilisation du phosphore chimique auraient rendu la région inhabitable, provoquant d’immenses dégâts sur l’infrastructure et l’environnement, créant ainsi une sorte de « zone tampon » que souhaite établir Entité sioniste au Liban.
Situation critique
Les responsables locaux et gouvernementaux, les chercheurs, les travailleurs civils et les habitants confirment la détérioration importante de l’infrastructure civile dans la région frontalière, ce qui rend le retour des habitants pratiquement impossible.
Armes dévastatrices
En plus des dommages causés à l’infrastructure, l’utilisation par Entité sioniste de phosphore blanc et d’autres substances incendiaires aurait nui à l’écosystème du Liban, affectant gravement la vie quotidienne des habitants et l’environnement.
Questionnements sur les motivations
Des voix s’interrogent sur les motivations d’Entité sioniste, se demandant si la diplomatie actuelle et la zone tampon imposée seront suffisantes pour éviter une escalade vers une guerre plus étendue, ou si Entité sioniste cherche à élargir le conflit dans le but de mettre en œuvre sa « stratégie insensée » d’élimination totale du Hezbollah.
Réactions et conséquences
Les déclarations officielles israéliennes tentent de justifier ces actions en affirmant qu’il ne s’agit pas d’une zone tampon, mais simplement d’une stratégie visant à éloigner le Hezbollah, tout en préservant la présence des forces de maintien de la paix, de l’armée libanaise et des civils sur place, tel que rapporté par Financial Times.
Impact environnemental et humanitaire
Les attaques israéliennes utilisant le phosphore blanc et d’autres armes ont eu des conséquences désastreuses sur le Liban, affectant non seulement les infrastructures, mais aussi le tissu biologique du pays. La remise en état des sols pourrait prendre des années, contribuant ainsi à transformer la région en une terre stérile et inhabitée.