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Le jeudi, l’armée israélienne a annoncé avoir abattu un missile de croisière venu de l’est, supposément lancé depuis l’Irak, ainsi qu’un objectif aérien provenant du sud du Liban, tandis que le front nord reste relativement calme.
Entité sioniste intercepte une menace de l’Est, calme au front nord
L’armée d’occupation israélienne a déclaré que l’interception des deux cibles aériennes n’a causé ni dégâts ni blessés, aucune partie n’ayant encore revendiqué les attaques contre les cibles israéliennes.
Déclaration de l’armée israélienne
Plus tôt, un correspondant d’Al Jazeera avait confirmé le lancement de roquettes depuis le sud du Liban en direction d’une position israélienne dans le nord de la Galilée. L’agence de presse libanaise a rapporté que l’artillerie israélienne avait bombardé les environs du village de Aita al-Shab dans le sud du Liban. La chaîne israélienne 12 a également signalé que des sirènes d’alarme avaient retenti à Margaliot, dans le nord de la Galilée, près de la frontière libanaise.
Incidents antérieurs
Depuis ce matin, la frontière libano-israélienne connaît une accalmie et une diminution des bombardements, après une escalade ces derniers jours au cours de laquelle le Hezbollah a utilisé des drones pour cibler des sites militaires israéliens et des équipements de surveillance, malgré des avertissements israéliens sur l’usage d’armes modernes par le Hezbollah.
Situation actuelle à la frontière
Hier, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a visité la région nord, où la population montre des signes de fatigue après une longue période de déplacement due aux bombardements continus du Hezbollah, promettant de ramener les habitants chez eux.
Visite de Netanyahou
Depuis le 8 octobre dernier, des factions libanaises et palestiniennes au Liban échangent quotidiennement des tirs intermittents avec l’armée israélienne à travers la ligne bleue, causant des centaines de morts et de blessés, principalement du côté libanais.
Échanges de tirs