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Entité sioniste aurait-il attaqué la province d’Isfahan en Iran ? Drones interceptés par l’Iran. Conflit en cours.
Les systèmes de défense aérienne de l’Iran ont été déployés dans plusieurs parties du pays tôt vendredi matin après des explosions près de l’aéroport de la province d’Isfahan, sur fond de tensions croissantes avec Entité sioniste, selon les médias d’État.
Vendredi, des explosions ont également été signalées en Irak et en Syrie.
Les événements et leur chronologie
- L’Iran a activé les batteries de défense aérienne dans plusieurs provinces et abattu trois petits drones au-dessus de la ville centrale d’Isfahan, selon des rapports des médias d’État. Ces rapports sont survenus quelques heures après que des médias américains aient signalé que des missiles israéliens avaient touché un site iranien.
- Des vols ont été suspendus dans diverses régions, dont la capitale Téhéran et Isfahan. Environ quatre heures plus tard, ils ont repris, sans qu’aucun rapport de victimes ne soit signalé.
- Des explosions ont également été signalées en Irak et en Syrie, les médias d’État iraniens indiquant que plusieurs sites militaires en Syrie ont été visés.
Entité sioniste a-t-il attaqué l’Iran ?
- Les médias iraniens, citant des responsables iraniens, suggèrent qu’il n’y a pas encore de preuve d’une main étrangère dans les attaques. Certains rapports des médias iraniens non confirmés suggèrent que les frappes ont potentiellement été lancées à l’aide de petits quadricoptères – essentiellement des hélicoptères sans pilote et autonomes.
- Entité sioniste n’a pas encore commenté les attaques.
Les réactions internationales
De l’Allemagne à la Russie, au Japon et à l’Égypte, les pays du monde entier ont appelé à la « désescalade » après la suspicion de frappe israélienne en Iran. Ces événements ont suscité des réactions variées et des appels à la retenue pour éviter toute escalade supplémentaire du conflit au Moyen-Orient.
L’aviation Lufthansa en Allemagne a suspendu ses vols vers Tel Aviv jusqu’à samedi matin et évitera de survoler l’espace aérien irakien en raison de la situation sécuritaire dans la région.