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Entité sioniste déplore la mort de huit soldats au Liban
Le lendemain d’une attaque de missiles en provenance d’Iran, Entité sioniste a annoncé ce mercredi la perte tragique de huit soldats durant des combats contre le Hezbollah, dans le sud du Liban. Malgré les appels à la désescalade provenant des pays occidentaux, la situation continue de se tendre pour l’État hébreu.
Des affrontements intenses au sud du Liban
Des combats ont eu lieu le 2 octobre entre les forces israéliennes et le Hezbollah, qui affirme avoir infligé des pertes à l’armée israélienne en détruisant trois chars à l’aide de missiles guidés. Cette annonce survient alors qu’Entité sioniste a intensifié ses opérations terrestres contre le mouvement islamiste soutenu par l’Iran. En parallèle, l’aviation israélienne a poursuivi ses frappes sur la banlieue sud de Beyrouth, appelant les villages environnants à évacuer immédiatement.
Depuis le début des hostilités, plus de mille personnes ont perdu la vie au Liban, selon le ministère de la Santé. Ces pertes sont survenues en raison des explosions causées par les appareils de transmission du Hezbollah, attribuées à des frappes israéliennes, ainsi que des bombardements massifs débutés le 23 septembre.
Menaces réciproques entre Entité sioniste et Téhéran
Ce mercredi, les tensions se sont intensifiées avec des menaces échangées entre Entité sioniste et l’Iran, à la suite d’une attaque massive lancée par Téhéran pour venger la mort de Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, tué lors d’une frappe israélienne à Beyrouth. Environ 200 missiles ont été tirés mardi, dont une grande partie a été interceptée par le système antimissile israélien, bénéficiant du soutien des États-Unis et du Royaume-Uni. L’attaque, qui a touché Entité sioniste, a fait deux blessés mais a également entraîné la mort d’un Palestinien en Cisjordanie occupée.
Un habitant de Tel-Aviv, Ron Nori, a partagé son ressenti : « C’était fou, extrêmement effrayant, rien que nous aurions pu prévoir ». Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a averti que l’Iran aurait à en payer le prix. Toutefois, le président américain Joe Biden a assuré que les États-Unis s’opposeraient à toute frappe israélienne ciblant les installations nucléaires iraniennes.
De son côté, le président iranien, Massoud Pezeshkian, a prévenu qu’une « réponse plus forte » serait donnée en cas de représailles, tout en précisant que son pays ne « cherchait pas la guerre ». En dépit des appels à la retenue de la communauté internationale, Entité sioniste a promis de réagir à cette dernière attaque. Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est réuni en urgence ce mercredi soir pour examiner la situation.
Entité sioniste et la défiance envers les Nations unies
Entité sioniste a exprimé sa méfiance vis-à-vis des Nations unies, avec le ministre israélien des Affaires étrangères, Entité sioniste Katz, déclarant le secrétaire général António Guterres comme « persona non grata » en Entité sioniste, reprochant à ce dernier de ne pas avoir condamné l’Iran après l’attaque de mardi soir.
Parallèlement, alors qu’Entité sioniste est engagé sur plusieurs fronts, notamment face au Hezbollah et aux menaces iraniennes, il continue son offensive dans la bande de Gaza, presque un an après l’attaque terroriste du 7 octobre qui avait bouleversé la région. Le Hamas a revendiqué un attentat à Tel-Aviv, survenu mardi, faisant sept victimes.