Sommaire
Des propos scandaleux prononcés par un ancien diplomate des États-Unis ont engendré une virulente polémique au sein de l'opinion publique et des médias sociaux. Stuart Seldowitz, ex-responsable auprès de la diplomatie américaine, a suscité un tollé après une altercation avec un vendeur ambulant égyptien à New York. L’incident, filmé et partagé en ligne, a dévoilé des déclarations incendiaires concernant les enfants palestiniens et des attaques personnelles contre l'employé.
Altercation dans les rues de New York
Stuart Seldowitz a été filmé dans une confrontation verbale avec un vendeur ambulant égyptien dans les rues de New York. Au cours de l'échange, l'ancien diplomate a proféré des insultes et des commentaires xénophobes envers le jeune homme. La diffusion de cette vidéo a rapidement entraîné une vague de réactions médiatiques et sur les plateformes de réseaux sociaux. Les images montrent Seldowitz, qui s'est prétendument plusieurs fois approché du vendeur, en le provoquant avec diverses remarques déplacées et discriminatoires.
Des déclarations controversées sur le conflit israélo-palestinien
Au-delà d’une attaque personnelle, les propos émis par Seldowitz touchent à la situation délicate du conflit israélo-palestinien. Dans ses déclarations, reprises et largement condamnées, l'ancien responsable a mentionné que "tuer 4 000 enfants palestiniens ne serait pas suffisant", révélant ainsi une hostilité marquée et une indifférence choquante face à la perte de vies innocentes. Ces paroles inacceptables dans le discours public ont suscité indignation et appels à des mesures disciplinaires.
Réactions institutionnelles et conséquences
Après la diffusion des images et l'écho suscité par ces controverses, l'entreprise "Gotham Government Relations" a publiquement pris ses distances avec Stuart Seldowitz, dénonçant ses actes comme étant contraires à l'éthique et aux normes de l'organisation. Des figures politiques, telles que la gouverneure de New York, ont fermement condamné les propos, soulignant que de tels discours de haine n'ont pas leur place dans la société. De plus, des actions sont déployées pour examiner juridiquement les faits et possibles implications liées à ces événements.