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Dans un geste fort de soutien, Dick Van Dyke a exprimé son endorsement pour Kamala Harris en tant que présidente des États-Unis. L’acteur de 98 ans a partagé un discours qu’il a délivré en 1964 lors d’un événement sur les droits civiques, en compagnie de Martin Luther King Jr.
Un message intemporel
Au cours de cette vidéo, Van Dyke a lu un passage du discours, soulignant que « la haine n’est pas la norme », une affirmation qui, selon lui, est tout aussi pertinente aujourd’hui qu’elle l’était à l’époque. Il a rappelé que « beaucoup de choses ont changé » depuis sa première lecture, notant que bien que nous n’ayons pas atteint tous les rêves de Martin Luther King, nous avons fait des progrès.
Un appel à l’action
Bien que Van Dyke n’ait pas mentionné Harris explicitement dans son discours, il a utilisé les réseaux sociaux pour lui adresser un message clair : « VOTE!! @kamalaharris ». Dans son discours, il a partagé un souvenir marquant de sa participation à un rassemblement rassemblant 60 000 personnes au Colisée de Los Angeles en 1964, où il avait lu un message écrit par Rod Serling, le créateur de « The Twilight Zone ».
Des réflexions sur l’humanité
Van Dyke a ensuite lu un extrait de son discours, intitulé « Un discours des plus non politiques », dans lequel il explique que « la haine, le préjugé, la suspicion, le mépris, la jalousie et le bouc émissaire ne sont pas des facettes transcendantes de la personnalité humaine ». Il a décrit ces sentiments comme des maladies, des « cancers de l’âme » qui ont affecté l’humanité pendant des années.
Un message d’espoir
Il a également affirmé qu’il y a encore de l’espoir tant qu’il reste « une voix pour accueillir un étranger » et « une main tendue pour partager ». Van Dyke a insisté sur le fait qu’il existe une « décence essentielle » et une « dignité prééminente » en chacun de nous. Il a conclu en déclarant que malgré les moments de violence et d’intolérance qui persistent, ceux-ci sont les vestiges d’un passé désolé, et non les indicateurs d’un avenir meilleur.
La nécessité de la foi
Enfin, il a souligné que ceux qui prétendent que l’inégalité est un mal nécessaire doivent entendre que « c’est mal, mais ce n’est pas nécessaire ». En paraphrasant Horace Mann, Van Dyke a terminé son discours en disant : « Soyons honteux de vivre sans cette victoire ».