La police britannique a annoncé vendredi que deux femmes sont accusées de terrorisme suite à leur participation à une manifestation en faveur des Palestiniens et contre l’agression israélienne à Gaza. Selon les sources, on prétend que les femmes portaient des autocollants avec des images de parachutistes lors d’une manifestation à Londres le 14 octobre dernier. Elles sont inculpées en vertu de la législation antiterroriste et comparaîtront devant le tribunal de Westminster à Londres le 10 novembre en cours.
Certains combattants des Brigades al-Qassam, la branche militaire du mouvement de résistance islamique Hamas, ont utilisé des parachutes pendant l’opération « Tempête d’al-Aqsa » le 7 octobre dernier. Selon Tel Aviv, cette attaque a entraîné la mort d’environ 1500 Israéliens, dont plus de 330 soldats, ainsi que la capture de plus de 230 autres personnes.
Le bureau du procureur royal britannique a déclaré que les images « suscitaient des soupçons légitimes selon lesquels les femmes soutiendraient une organisation interdite, en particulier le Hamas », car le Royaume-Uni classe le Hamas comme une organisation terroriste. Les tensions ont augmenté au Royaume-Uni et dans d’autres pays depuis l’opération « Tempête d’al-Aqsa » lancée par la résistance palestinienne à Gaza en octobre dernier, suivie de frappes violentes et de massacres perpétrés par Israël contre les habitants de la bande de Gaza, faisant près de 10 000 morts, principalement des femmes et des enfants.
Des dizaines de milliers de manifestants ont participé à des marches de solidarité avec les Palestiniens, appelant le gouvernement britannique à demander un cessez-le-feu et l’accusant de complicité avec les crimes israéliens à Gaza. « La campagne Stand Up to Anti-Semitism » a déclaré vendredi que la police de Londres n’appliquait pas ou n’appliquait pas suffisamment les lois en vigueur. La police a déclaré qu’elle adopterait une approche préventive et utiliserait des interventions plus ciblées pour procéder à des arrestations au sein des foules, y compris l’analyse des réseaux sociaux et l’utilisation de la reconnaissance faciale rétrospective.
Les femmes sont accusées de terrorisme en raison de leur participation à une manifestation pro-palestinienne qui s’est tenue à Londres le 14 octobre dernier. Pendant cette manifestation, elles auraient porté des autocollants avec des images de parachutistes, ce qui a suscité des soupçons selon lesquels elles soutiendraient le Hamas, une organisation classée comme terroriste par le Royaume-Uni.
Les parachutes ont été utilisés par des combattants des Brigades al-Qassam lors de l’opération « Tempête d’al-Aqsa » le 7 octobre dernier. Selon les autorités israéliennes, cette opération a entraîné la mort de près de 1500 Israéliens, dont plus de 330 soldats, et la capture de plus de 230 personnes. Les images des femmes portant des autocollants avec des parachutistes ont donc soulevé des doutes quant à leur affiliation au Hamas.
Depuis l’opération « Tempête d’al-Aqsa » et les violences qui ont suivi à Gaza, les tensions ont augmenté non seulement au Royaume-Uni mais aussi dans d’autres pays. De nombreux manifestants se sont joints à des marches de solidarité avec les Palestiniens, exhortant le gouvernement britannique à demander un cessez-le-feu et accusant ce dernier de complicité avec les crimes commis par Israël à Gaza. Cependant, la police de Londres a été critiquée pour ne pas appliquer strictement les lois actuelles.
Deux femmes sont maintenant accusées de terrorisme après avoir participé à une manifestation pro-palestinienne à Londres. Les images des parachutistes sur leurs vêtements ont soulevé des soupçons quant à leur affiliation au Hamas. Les tensions se sont intensifiées à la suite de l’opération « Tempête d’al-Aqsa » à Gaza, et de nombreuses personnes ont exprimé leur solidarité avec les Palestiniens et leur frustration envers le gouvernement britannique. La police de Londres a déclaré qu’elle adopterait une approche plus proactive dans l’application des lois en vigueur.