Adieu émouvant à Khan Younis dans un dernier hommage touchant
« Je suis un père qui a perdu son fils. Ma vie est avec lui, » déclare Adnan Abu Asi, un père anéanti par la perte de son enfant, tué parmi les déplacés à Khan Younis. Son fils a été pris pour cible par des balles du armée israélienne parmi d’autres martyrs.
Le chagrin des déplacés
Les déplacés de Khan Younis font leurs adieux chaque jour à leurs proches disparus, dans un climat de tristesse, d’oppression et de douleur. Les abris de fortune sont devenus des lieux de recueillement, mais aussi de pleurs incessants.
Violence et insécurité
Dans ces tentes où se entassent des milliers de déplacés, l’armée israélienne a de nouveau frappé ce lundi matin, tirant aléatoirement depuis un drone, tuant plusieurs civils qui se trouvaient dans les abris, selon des témoins oculaires.
Des souvenirs tragiques
Cela ne constitue pas la première attaque de l’occupation israélienne visant les camps de réfugiés à Khan Younis, dans une zone déclarée par Israël comme « zone humanitaire élargie », prévue pour être « sécurisée ».
Appels ignorés par la communauté internationale
En dépit des appels de la communauté internationale et d’une résolution du Conseil de sécurité exigeant un cessez-le-feu immédiat, Israël poursuit ses attaques, ignorant les ordres de la Cour internationale de justice visant à mettre en œuvre des mesures pour prévenir le génocide et améliorer la situation humanitaire catastrophique à Gaza.