À Bakou, en Azerbaïdjan, la COP 29, qui débute ce lundi, représente un défi majeur : préserver les accords de Paris dans un contexte politique tumultueux et face à des températures en constante augmentation. Moukhtar Babaïev, le président de la conférence, souligne que * »la COP 29 est un moment de vérité pour l’accord de Paris »*. Cependant, une menace se profile : l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche pourrait remettre en question ces accords, le futur président ayant promis de les abandonner, comme il l’avait fait en 2016. D’après des experts, un tel retrait ne serait pas économiquement judicieux pour les États-Unis.
+ 1,5 ° de réchauffement en 2024
Face à l’urgence climatique, le temps est compté. L’année 2024 devrait se terminer avec une hausse de la température mondiale de plus de 1,5 degré. Les pays participants à la conférence ont dix jours pour parvenir à un consensus et démontrer leur engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique.