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Les armes au Soudan: quelles sont leurs intentions profondes?
La situation actuelle au Soudan suffit à prouver que la théorie du complot n’est ni une imagination, ni une exagération politique. Elle dénote la présence d’une force occulte qui attise les guerres et détruit les nations en développement à travers divers scénarios, pour des raisons mystérieuses connues de certains. Ce qui est déconcertant et troublant pour les Soudanais est le meurtre et la terreur provoqués par cette guerre, résultant d’entités invisibles et d’agendas internationaux dont les véritables intentions restent ambiguës!
Un scénario se déroule en secret
Le président soudanais, Omar al-Bachir, consultait récemment les mémoires de l’Américain John Perkins (« Les confessions d’un assassin financier des États-Unis ») et pressentait un danger imminent contre son pays. Il est allé jusqu’à forger des alliances en Russie, réalisant que le Soudan, économiquement asphyxié, était au bord de l’effondrement. Il craignait d’être le dernier président du Soudan dans sa forme actuelle. Si la guerre ne tourne pas en faveur de l’armée soudanaise et que les opérations de déplacement forcé et de changement démographique se poursuivent, orchestrées par les forces de soutien rapide, le destin du Soudan sera scellé.
Un nuage de sang et de larmes
Les nouvelles horribles en provenance du Soudan se multiplient, notamment à Djenne, la capitale de l’ouest du Darfour, théâtre d’un génocide contre la tribu des Masalit, autochtones qui avaient résisté à l’invasion française. Les atrocités similaires se déroulent dans les États du centre du Soudan, comme Al-Jazirah, où les populations sont assiégées entre les canaux, sujettes au pillage, au meurtre et à la famine par les forces de soutien rapide.
Une conspiration internationale
Les agissements au Soudan sont qualifiés de tragédie par le HCR, alertant sur une menace de famine imminente. Or, cette vision occulte une réalité plus sombre: la préparation du terrain par des forces armées aux intentions cachées, fermant les portes du retour. L’intervention internationale en faveur des civils assiégés à El-Fasher soulève la question essentielle: pour où les déplacer? Qui laissent-ils derrière eux? Des zones sûres existent-elles encore? Révélant ainsi l’agenda des déplacements forcés déployé depuis les jours du président al-Bachir.
La perspective de la terre alternative
Une planification de longue date tend à vider le Soudan de sa population, en contrôlant ses ressources. Face à l’augmentation rapide de la population mondiale, une crise alimentaire se profile, exposant le Soudan comme un potentiel remède grâce à ses terres fertiles. L’objectif est clair: démanteler le Soudan, le désertifier et forcer les populations à chercher des patries alternatives, reproduisant des scénarios d’expansion comme en Palestine ou l’extermination des Amérindiens aux États-Unis.