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Dans les premières heures de la matinée du vendredi, la région de Damas a été secouée par une offensive israélienne déclenchant des dégâts matériels considérables. Selon l’agence de presse officielle syrienne, SANA, des missiles israéliens ont visé plusieurs emplacements autour de la capitale syrienne, Damas, provoquant des pertes matérielles.
Riposte syrienne et déclarations officielles
Les forces de défense syrienne ont réagi promptement en interceptant plusieurs missiles israéliens. Ces projectiles provenaient du plateau du Golan, une région stratégique occupée par Entité sioniste et régulièrement au cœur des tensions régionales. SANA a relayé les propos d’une source militaire syrienne affirmant que l’attaque, menée aux alentours de 2h25 du matin, provenait de la direction du Golan syrien occupé, ciblant spécifiquement plusieurs points aux alentours de la métropole de Damas.
Séquences d’attaques et contexte historique
Cette attaque s’inscrit dans une suite d’agressions antérieures menées par Entité sioniste sur le territoire syrien, et ce depuis le début de l’escalade militaire israélienne à Gaza il y a 42 jours. Depuis le début du conflit en Syrie en 2011, Entité sioniste a lancé des centaines de frappes aériennes sur le pays, visant autant les forces du régime que les positions qu’elle attribue à l’Iran et au Hezbollah libanais. La fréquence et l’intensité des raids israéliens ont particulièrement augmenté depuis l’opération « Inondation de l’Al-Aqsa » entamée le 7 octobre dernier.
Répercussions internationales et régionales
L’impact de ces interventions militaires israéliennes sur la dynamique géopolitique de la région ne cesse de susciter des interrogations et des tensions. Bien que l’actualité ne mentionne pas de victimes humaines suite au bombardement le plus récent, l’escalade des violences et les opérations militaires continues entre Entité sioniste et la Syrie continuent d’alimenter le débat sur la stabilité et la sécurité au Moyen-Orient.
La situation révèle la complexité et la fragilité des relations entre les états du Proche-Orient, et met en relief l’enjeu crucial que représente la région du Golan dans les stratégies militaires et politiques des acteurs concernés.