Au niveau de la frontière entre le Liban et Entité sioniste, les habitants d’un village chrétien espèrent que la guerre pourra être évitée tout en se préparant à une éventuelle intensification des hostilités entre le groupe chiite libanais Hezbollah et Entité sioniste. Situé à seulement quelques kilomètres de la frontière, le village de Rmeich a déjà subi les conséquences de trois semaines de affrontements le long de la frontière entre Entité sioniste et le Hezbollah, soutenu par l’Iran et étant la force dominante dans le sud du Liban.
Le village, tout comme le reste du Liban, ressent les turbulences provoquées par le conflit qui fait rage à environ 200 km de là entre Entité sioniste et le groupe palestinien Hamas, allié du Hezbollah lourdement armé. Ceux qui restent à Rmeich semblent réticents à discuter de la politique de la crise qui a amené le conflit à leur porte, cherchant à préserver une certaine normalité dans ce village où l’église du XVIIIe siècle organise encore trois messes par jour.
« Je ne dirais pas que nous nous sentons en sécurité, mais la situation est stable », a déclaré le prêtre du village, Toni Elias, 40 ans, alors qu’un drone militaire survolait les lieux. « Si nous n’entendons pas le drone, nous pensons qu’il se passe quelque chose d’étrange. Nous y sommes habitués tous les jours, 24 heures sur 24 », a ajouté Elias.
Conséquences des affrontements Hezbollah-Entité sioniste dans un village chrétien du Liban
Le village de Rmeich, situé à la frontière entre le Liban et Entité sioniste, est directement touché par les tensions entre le groupe chiite Hezbollah et Entité sioniste. Bien que les habitants espèrent éviter une guerre, ils se préparent néanmoins à une intensification possible des hostilités. En effet, au cours des trois dernières semaines, les affrontements entre Entité sioniste et le Hezbollah, soutenu par l’Iran, ont déjà eu des conséquences sur le village.
Non loin de là, le conflit entre Entité sioniste et le groupe palestinien Hamas, également allié du Hezbollah, fait sentir ses turbulences jusqu’au Liban. Rmeich et tout le pays sont donc plongés dans une situation instable.
Malgré cela, les habitants de Rmeich préfèrent éviter de discuter de la politique de la crise, souhaitant maintenir une certaine normalité dans leur village. L’église du XVIIIe siècle, qui organise toujours trois messes par jour, est un symbole de cette normalité qu’ils cherchent à préserver.
Bien que la situation ne soit pas sans danger, le prêtre du village, Toni Elias, déclare que la situation est stable. Les habitants sont habitués au drone militaire qui survole le village en permanence. Son absence serait considérée comme suspecte.
En conclusion, Rmeich et ses habitants sont pris au milieu des affrontements entre le Hezbollah et Entité sioniste. Ils tentent de se préparer au mieux tout en espérant que la guerre pourra être évitée.